Christophe Wacker vit enfin de sa passion pour le football...
Christophe, que faisais-tu avant d’être gérant de complexe indoor ?
« Nous avons acquis Evad’sports en février 2016, et jusqu’à novembre 2015, j’étais encore cadre commercial dans l’automobile, et ce depuis dix-huit ans ».
Qu’est-ce qui t'a décidé à te lancer dans cette activité ?
« J’ai eu tout simplement l’envie de changer de métier, et la passion du foot a fait le reste ».
Quelles sont les principales difficultés au quotidien ?
« Ce ne sont pas vraiment des difficultés. Mais en plus des clients fidèles, qui sont restés après le changement de direction, il faut savoir en conquérir de nouveaux. Et c’est un travail de chaque jour. Nous semons pour récolter les fruits… »
Où trouve-tu le plus de plaisir ?
« Dans la satisfaction de mes clients. Mais aussi lorsque ceux-ci me demandent de compléter leur groupe, car un joueur leur manque. Je suis resté joueur, et c’est aussi une marque de confiance pour moi ».
Et à contrario, qu’est-ce qui te pèse le plus ?
« Faire le ménage deux fois par jours ! C’est contraignant mais nécessaire. Non seulement cela donne une meilleure image de notre centre, mais l’hygiène est très importante pour nous ».
« Nous avons acquis Evad’sports en février 2016, et jusqu’à novembre 2015, j’étais encore cadre commercial dans l’automobile, et ce depuis dix-huit ans ».
Qu’est-ce qui t'a décidé à te lancer dans cette activité ?
« J’ai eu tout simplement l’envie de changer de métier, et la passion du foot a fait le reste ».
Quelles sont les principales difficultés au quotidien ?
« Ce ne sont pas vraiment des difficultés. Mais en plus des clients fidèles, qui sont restés après le changement de direction, il faut savoir en conquérir de nouveaux. Et c’est un travail de chaque jour. Nous semons pour récolter les fruits… »
Où trouve-tu le plus de plaisir ?
« Dans la satisfaction de mes clients. Mais aussi lorsque ceux-ci me demandent de compléter leur groupe, car un joueur leur manque. Je suis resté joueur, et c’est aussi une marque de confiance pour moi ».
Et à contrario, qu’est-ce qui te pèse le plus ?
« Faire le ménage deux fois par jours ! C’est contraignant mais nécessaire. Non seulement cela donne une meilleure image de notre centre, mais l’hygiène est très importante pour nous ».
"Le Foot5, bien plus fédérateur que le foot à onze"
Parle-nous de ta zone de chalandise et de la concurrence présente sur le secteur ?
« Nous sommes situés dans une zone industrielle de la banlieue strasbourgeoise, qui regroupe trois cent cinquante entreprises. Nous sommes le seul complexe sportif présent dans cette zone, hormis un de fitness qui vient juste de s’installer. Les premiers concurrents sont situés à une vingtaine de kilomètre de notre structure. Et sur toute l’agglomération strasbourgeoise, il y a maintenant cinq complexes dont le nôtre. Chacun a ses spécificités, en plus de proposer du foot en salle. Nous, par exemple, nous proposons également du badminton ».
Quel bilan tires-tu depuis la reprise de l'activité ?
« Nous avons repris les rênes au 1er février de cette année. Je dirais que conformément à ce que nous pensions, c’est beaucoup d’horaires, d’investissement personnel… mais aussi une grande satisfaction que d’être à son compte et de diriger un complexe de foot en salle ».
Qu’as-tu apporté de nouveau ?
« Au bout de deux mois, la nouveauté n’est pas forcément criante. Cependant, le fait d’être trois associés, dont deux femmes, apportent aussi une certaine fraîcheur. Nous nous efforçons déjà d'apporter un coup de jeune à notre établissement, point de vue esthétique ».
Prévoies-tu des évolutions dans ton complexe ?
« Nous avons remis en place des choses que les précédents gérants avaient mis en stand-by, tels que des tournois ou des stages enfants. Nous allons développer par la suite les anniversaires filles. Il y a de la demande. Et d’autres activités, dont je ne peux pas encore parler à ce jour ».
« Nous sommes situés dans une zone industrielle de la banlieue strasbourgeoise, qui regroupe trois cent cinquante entreprises. Nous sommes le seul complexe sportif présent dans cette zone, hormis un de fitness qui vient juste de s’installer. Les premiers concurrents sont situés à une vingtaine de kilomètre de notre structure. Et sur toute l’agglomération strasbourgeoise, il y a maintenant cinq complexes dont le nôtre. Chacun a ses spécificités, en plus de proposer du foot en salle. Nous, par exemple, nous proposons également du badminton ».
Quel bilan tires-tu depuis la reprise de l'activité ?
« Nous avons repris les rênes au 1er février de cette année. Je dirais que conformément à ce que nous pensions, c’est beaucoup d’horaires, d’investissement personnel… mais aussi une grande satisfaction que d’être à son compte et de diriger un complexe de foot en salle ».
Qu’as-tu apporté de nouveau ?
« Au bout de deux mois, la nouveauté n’est pas forcément criante. Cependant, le fait d’être trois associés, dont deux femmes, apportent aussi une certaine fraîcheur. Nous nous efforçons déjà d'apporter un coup de jeune à notre établissement, point de vue esthétique ».
Prévoies-tu des évolutions dans ton complexe ?
« Nous avons remis en place des choses que les précédents gérants avaient mis en stand-by, tels que des tournois ou des stages enfants. Nous allons développer par la suite les anniversaires filles. Il y a de la demande. Et d’autres activités, dont je ne peux pas encore parler à ce jour ».
"Un produit en plein essor"
Quelle est ta vision du Foot5 côté jeu et pratiquants ?
« C’est un football qui est beaucoup plus rapide et technique que le football à onze en extérieur. Par contre, je le trouve bien plus fédérateur. Nul besoin de licence pour y jouer, et on y joue à tout âge. Quel que soit son niveau ».
Les compétitions dans le Foot5, ça t'inspire quoi ?
« J’ai déjà assisté, dans d’autres enseignes nationales, à des compétitions de Foot5, histoire de découvrir un peu, avant notre reprise d’Evad’sports. Je pense que ces épreuves ne reflètent pas l’esprit de convivialité que je me fais du foot en salle personnellement. Inconsciemment, elles suggèrent un certain niveau de pratique, et donc, ne s’adressent pas à tous les pratiquants. Mais ce n’est que mon avis ! »
Quelle est ta vision du Foot5 côté business ?
« Pour moi, le foot en salle est un produit d’appel, tout comme nos terrains de badminton. Grâce à eux, nos clients découvrent nos autres prestations, viennent aussi passer d’autres bons moments. Et le bouche à oreille fait le reste. Sinon, d’un point de vue global, c’est un produit qui est encore en plein essor, et qui va prendre une plus grande dimension dans les années à venir. Je pense qu’il y a de la place pour tout le monde ».
Le mot de la fin pour toi…
« C’est un réel plaisir que de pouvoir vivre de ma passion, le football. Tout le monde n’a pas eu la chance de pouvoir être footballeur professionnel… Je suis chef d’entreprise, je joue au football dans mon établissement, et les gens viennent chez nous pour le plaisir de jouer. Que demander de plus ? »
Propos recueillis par A. P-B
« C’est un football qui est beaucoup plus rapide et technique que le football à onze en extérieur. Par contre, je le trouve bien plus fédérateur. Nul besoin de licence pour y jouer, et on y joue à tout âge. Quel que soit son niveau ».
Les compétitions dans le Foot5, ça t'inspire quoi ?
« J’ai déjà assisté, dans d’autres enseignes nationales, à des compétitions de Foot5, histoire de découvrir un peu, avant notre reprise d’Evad’sports. Je pense que ces épreuves ne reflètent pas l’esprit de convivialité que je me fais du foot en salle personnellement. Inconsciemment, elles suggèrent un certain niveau de pratique, et donc, ne s’adressent pas à tous les pratiquants. Mais ce n’est que mon avis ! »
Quelle est ta vision du Foot5 côté business ?
« Pour moi, le foot en salle est un produit d’appel, tout comme nos terrains de badminton. Grâce à eux, nos clients découvrent nos autres prestations, viennent aussi passer d’autres bons moments. Et le bouche à oreille fait le reste. Sinon, d’un point de vue global, c’est un produit qui est encore en plein essor, et qui va prendre une plus grande dimension dans les années à venir. Je pense qu’il y a de la place pour tout le monde ».
Le mot de la fin pour toi…
« C’est un réel plaisir que de pouvoir vivre de ma passion, le football. Tout le monde n’a pas eu la chance de pouvoir être footballeur professionnel… Je suis chef d’entreprise, je joue au football dans mon établissement, et les gens viennent chez nous pour le plaisir de jouer. Que demander de plus ? »
Propos recueillis par A. P-B
Christophe WACKER
Né le 22/12/1975 à Haguenau
Profession : chef d’entreprise, gérant d’un centre de football en salle
Parcours joueur : niveau régional jusqu’à la division Honneur, première licence vétéran (trente-trois ans de football).
EVAD’SPORTS BISCHHEIM
Adresse : 11 avenue de l’énergie 67800 BISCHHEIM
Tel : 03.88.16.10.10
Mail : [email protected]
Internet : www.evadsports.fr
INSTALLATIONS et PRESTATIONS
Nombre de terrains de foot5 : 3
Installations : Vestiaires de 100 m², bar panoramique de 150 m², restauration, écran géant
Né le 22/12/1975 à Haguenau
Profession : chef d’entreprise, gérant d’un centre de football en salle
Parcours joueur : niveau régional jusqu’à la division Honneur, première licence vétéran (trente-trois ans de football).
EVAD’SPORTS BISCHHEIM
Adresse : 11 avenue de l’énergie 67800 BISCHHEIM
Tel : 03.88.16.10.10
Mail : [email protected]
Internet : www.evadsports.fr
INSTALLATIONS et PRESTATIONS
Nombre de terrains de foot5 : 3
Installations : Vestiaires de 100 m², bar panoramique de 150 m², restauration, écran géant
Olivier Geiger et Jérôme Meyer (à gauche) ont passé la main à Stéphanie et Christophe Wacker et Stella Parisot